just to tell those who thought i was out of track, there is still a lot of publications to come, and some of them in shakespeare's language!
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Lucile est une jeune et jolie fille sympa
La mélancolie et la rancœur elle ne connait pas
Elle ouvre son cœur à qui le sollicite la Lucile
Mais faut surtout pas vous méprendre, c’est pas une fille facile
A sa mine défraîchie on comprend que sa vie n’est pas aisée
Chaque jour qui se lève brûle son regard comme le soleil la rosée
Pourtant elle ne se plaint pas et son sourire ferait presque des envieux
D’ailleurs quand on demande, elle répond toujours que tout va pour le mieux
Elle est comme ça la Lucile, elle n’en demande pas trop
Sa vie n’est pas extraordinaire, elle la vit au petit trot
Lucile n’est pas encore tout-à-fait une femme
Mais elle fait ce qu’elle fait sinon elle s’affame
Dans le quartier on lui colle l’adjectif qui commence par un P
Ça ne la dérange pas, quand la barque prend l’eau, il faut écoper
Sa barque à elle, il y a longtemps qu’elle fuit de toutes parts
Et du partage social elle n’a jamais reçu sa part
Alors elle monte et descend bravant crânement l’adversité
Et fait le bonheur de tous les hypocrites de la cité
L’on ne saurait vraiment dire si elle en tire du plaisir
Mais elle sait si bien faire monter en nous le désir
Pauvre Lucile, pauvre enfant
La vie te brise les reins, ton cœur elle pourfend
Le monde te rejette la société te juge
Les femmes te méprisent et les hommes te grugent
Alors tu glisses dans la vie comme fait sur le papier le feutre
Et nous les gens comme il faut te regardons car nous sommes tous des pleutres
Nous nous mentons à nous même, sacrés mythomanes
Pourtant dans l’histoire nous sommes des pompiers pyromanes
Qui en plus se retrouvent à la fois juges et partie
Alors c’est clair que dans l’affaire t’es d’avance mal partie
Lucile n’est pas une enfant unique
Elles sont des millions à vivre cette vie inique
Des millions d’enfants de notre mère terre
Que leurs sœurs et frères cherchent à faire taire
Des enfants sur qui personne ne voudrait miser
Des millions de Luciles purement et simplement minimisées
Et pourtant toutes ces Luciles sont bien réelles
Et poutant toutesces enfants ne sont pas naturelles
Pour elles les choses sont simplement parfois difficiles,
Très difficiles pour toutes ces Luciles, lucide Lucile…
Mon verbe est ce que j’ai de plus cher
Il est mon arme et il est mon âme
Et c’est peu de dire que j’en suis fier
C’est lui qui fait ma pub, ma réclame
Certains pour se faire entendre usent du pouvoir pécuniaire
Ils sont persuadés qu’en usant des billets tout baigne
Ce ne sont pas des tendres et deviennent vite des tortionnaires
On doit penser comme eux ou on se prend des beignes
D’autres font des toiles et peuvent en tirer du mérite
Je l’avoue cet art là me laisse très admiratif
Surtout face à des styles à part tel celui de Magritte
Qui peut à la fois être déconcertant et suggestif
Moi pour m’exprimer je ne fais rien de terrible, je parle
Que j’use de la salive ou de l’encre, le verbe est mon glaive
Gladiateur du mot, j’entre dans l’arène et des visages virent au pâle
Je déroule mon phrasé et voilà que des esprits s’élèvent
Mais les mauvaises langues scandent que je ne suis qu’un charlatan
Elles trouvent que mon propos est lourd et n’a rien de beau
Je trouve cette publicité touchante mais n’en demande pas tant
Car je n’ouvre la gueule que pour toucher les esprits et non faire le bobo
D’ailleurs quand je veux être fleur bleue, mon bleu n’est pas ciel mais cyan
Et très humblement j’assume pleinement mon verbe de roture
Je ne suis pas un virtuose du classique et mon style peut être balbutiant
C’est quoi le problème ? Après tout dans littérature il y a rature
Comme je vous l’ai dit, mon verbe est ce que j’ai de plus cher
Et je dis à tous ceux qui le prennent pour une hérésie
Il est mon âme, mes larmes et je l’aime, peuchère !
Allez donc vous faire pendre, je le dis, je fais de la poésie !
Le destin a souvent de ces façons de vous happer
Il emprunte des chemins détournés et vous prend de revers
Et c’est lorsque votre moral par les tribulations a été bien sapé
Que dame Fortune allume votre printemps et vous sort de votre hiver
J’avais pris ma plume et longtemps j’avais gratté du papier
J’y croyais ferme car je ne sais réellement très bien faire que ça
Mais du royaume de la lumière j’avais comme été mis à pied
J’ai même cru que du pédigrée moyen j’étais bien en deçà
Voilà que par une après-midi j’ai clavardé un laconique mayday
Comme une bouteille à la mer, j’ai lancé mon SOS sur le trombino
Je n’espérais sincèrement pas voir accourir foule pour m’aider
Et puis voilà qu’un soir je suis notifié, mais pas encore pour Bobino
La chance pour moi avait revêtu une peau de princesse
Elle m’a tenu la main et a continué avec moi le chemin
Et elle l’a fait pour qu’enfin mon errance cesse
J’avais pas mieux alors j’ai accepté son offre a deux à mains
Aujourd’hui je suis devant vous à parler et à faire le cabot
Mais croyez-moi, d’avance rien n’était gagné
Je respire et je croque dans la vie, regardez comme c’est beau
De se savoir aimé et voir ses blessures soignées
Alors je parle et on m’écoute, pour moi c’est l’essentiel
Je ne suis encore qu’un p’tit point à l’horizon mais j’avance pas a pas
Je ne demande pas trop à YAHVE, mais espère que du ciel
Tu regardes ton fiston et que tu es fier de lui mon papa
Certains en confisquant les tam-tams
Pensent avoir arrêté la fête
Mais que font-ils de tout le ramdam
De la musique qui reste trotter dans les têtes
Ainsi parlait le vieux sage pépère
Cet illustre poète d’un autre âge
Qu’aujourd’hui pourtant je révère
Au fil des mots et au fil des pages
C’est si simple de dire tais-toi !
A une bouche que l’on tient par la panse
Mais il est bien difficile ma foi
De museler un esprit libre qui pense
Ils nous proposent toujours le suicide
Comme exutoire à leurs lois d’airain
Ces vils esprits liberticides
Qui sans cesse nous brisent les reins
Mais aujourd’hui voilà que des voix s’élèvent
Pour clamer haut et fort leur désarroi
De ne pouvoir poursuivre leurs rêves
Emiettés sous le trône de l’ubuesque roi
Soyons libres de dire notre désaccord
Aux choix d’aujourd’hui qui demain vont nous lier
Protestons dans la paix, réclamons encore et encore
La parole pour voir les langues se délier
Et si jamais ils se refusent au dialogue
En nous répondant de façon agressive
Je subodore déjà un horrible épilogue
Car la riposte sera forcément transgressive
Ils sauront alors que même sans descendre dans la rue
Un certain ordre que l’on croit bien établi
Peut choir face à des idées d’un bon cru
Qui le feront plonger dans l’océan de l’oubli
De ce cruel et mortel jeu des échecs
Dont on prête très souvent le chapeau à des pions
La plèbe est souvent sacrifiée à coup de chèques
Pour faire perdurer l’aura du Lion
Mais les inégalités roi-pions ne sont qu’un leurre
La réalité se trouve sur une autre voie
Petites gens de tous bords, debouts il est l’heure
De faire entendre toutes vos voix
Alors ne les laissez pas être seuls à décider
En opinant toujours du chef de façon benoîte
Car à la fin de ce jeu létal des idées
Le roi et les pions sont rangés dans la même boîte
Je parle de ceux qui de l’amour ne connaissent que l’orthographe
Ceux qui rongent nos vies et composent déjà nos épitaphes
Tous ceux pour qui nos cœurs ont un jour battu
Et qui notre bonheur ont malheureusement combattu
Ceux-là ce sont les fossoyeurs de nos cœurs
Ils y creusent profond et font remonter nos peurs
Notre détresse semble être leur seule raison de vivre
Ils savent sur quel bouton appuyer et jamais ne s’en privent
Ils sont pour nos vies des distilleurs de spleen
Et dès qu’ils apparaissent nous faisons grise mine
Tout comme Néron tous nos espoirs ils crament
Ils exultent et bichent quand on a le vague à l’âme
C’est qu’un jour on est heureux, et puis boum ! patatras !
Ils entrent dans nos vies et c’est tout de suite le fatras
Mais voilà que j’ouvre les yeux et je dis assez !
Car bien trop d’injustices leur ont été passées
Ils ont tellement peur que je leur fasse de l’ombre
Que déjà sur moi ils se ruent en nombre
Dommage ! sur mon verbe de glaive ils achoppent
Et sans répartie, pour eux c’est le grand flop
Je parle de ceux qui de l’amour ne connaissent que l’orthographe
Ceux qui rongent nos vies et composent déjà nos épitaphes
Parfois on pense avoir rencontré le grand amour
Cette personne qui nous arrache aux nôtres à un détour
On nage dans un tiède bonheur et on se laisse emporter
On ne voit même plus ce que le destin met à notre portée
Les proches nous mettent en garde, mais l’on n’y prête guère foi
On leur répond la vie est courte, on ne vit qu’une seule fois
Seulement les amours sont vicieuses et meurent sans nous prévenir
La douleur nous étreint, on souffre, on ne peut s’en prémunir
Autour de nous c’est des « on te l’avait dit » qui fusent de toutes parts
Sauf qu’à la prochaine occasion, nous seront encore sur le départ
Comme quoi on ne sort pas toujours sage de nos tribulations
Ils le savent bien les vilains et abusent de la situation
Je parle de ceux qui de l’amour ne connaissent que l’orthographe
Ceux qui rongent nos vies et composent déjà nos épitaphes
Ils prennent un malin plaisir à nous épier comme des matons
Et à la moindre incartade, sur nous ils font un carton
J’en viens souvent à croire qu’il n’y a aucune issue possible
Pour échapper à ces croquemitaines qui nous prennent pour cibles
Ces hommes et ces femmes contre qui je n’ai pourtant aucune rancœur
Ces hommes et femmes qui sont malheureusement les fossoyeurs de nos cœurs
J’y suis entré comme on entre dans les ordres
C’est-à-dire à reculons
Et l’ambiance a mis du temps à me mordre
Pour tout dire ça a été long
J’avoue que je m’y rendais toujours en dilettante
Car j’avais du mal à m’y retrouver
Je restais là assis, hagard, dans l’attente
D’une révélation qui tardait à arriver
Avec le temps j’ai fini par me faire une raison
Car à défaut d’y apprendre un métier, on s’y cultive
Alors sont passés les mois, les saisons
J’ai attendu patiemment que mon heure arrive
Mais chez nous un métier c’est essentiellement pour le fric
Et la culture, en quelque sorte, c’est juste bon pour la frime
Voilà pourquoi contre cette maison je me montre critique
Elle qui forme des enfants qui après galèrent et triment
Nos amphis sont devenus de bien drôles de théâtres
Où se jouent d’ignobles tragédies
Dont les pauvres petits novices bleuâtres
Sont presque toujours les rois maudits
Tout comme Zola je pointe un doigt accusateur
Vers cet ogre qui broie et éteint les génies
Et bientôt mon œil inquisiteur
En voit pour qui ce sera bientôt fini
Mais comment a-t-on pu croire
Qu’on faisait du bien à notre nation
En construisant pour les jeunes esprits des mouroirs
Et en tuant toute velléité d’imagination ?
On y fait des gratte-papiers serviles
Qui vont grossir les rangs des oubliés
De notre société mercantile
Où on crève si on se refuse à plier
A quoi peut bien servir un frigoriste
Au pays glacial des esquimaux
Vivement des esprits plus rigoristes
Pour espérer nous dépêtrer de nos maux
Redonnons à nos grandes écoles un sens
Afin que sur elles notre devenir s’ancre
Tuons ces monstres qui ne vénèrent que le cens
Et place sur un piédestal le cancre
Je connais un terme très beau, mais plein de cynisme
Ce terme qui me blesse s’appelle « ostracisme »
De fait j’en souffre depuis ma tendre enfance
Et je ne trouve jamais personne pour prendre ma défense
Tout petit déjà j’étais le vilain petit canard
J’étais l’enfant le plus faible et du coup le plus flemmard
Je voyais que je causais bien du souci à mon entourage
Et croyez-moi cette situation m’emplissait de rage
Etre toujours dernier en tout et pris pour cible
Ça finit par vous gaver et vous rendre la vie peu à peu impossible
Voir ses propres parents toujours fiers des autres gosses
Et se sentir soi-même comme la cinquième roue du carrosse
Vous replie sur vous-même et vous fait vivre en reclus
Car c’est dur la vie quand on se sent exclu
Plus tard j’ai été balancé dans l’arène de l’école
Quand les autres me parlaient, j’avais l’impression qu’on me posait des colles
Sans me vanter, j’étais plus doué que la plupart
Et cela m’a valu des piques de leur part
Je n’y retournais pas de gaîté de cœur les lundis
Car même les moindres petits plaisirs m’y étais interdits
J’avais tout bonnement été mis au ban
Et même quand on jouait au foot j’étais toujours sur le banc
Vous devez trouver bien léger ce sur quoi je me fonde
Mais croyez-moi je ne faisais pas partie de leur monde
Et je n’allais pas non plus jouer le pot d glu
Car c’était déjà bien dur de se sentir exclu
Lorsqu’après quelques années
Je suis devenu un peu plus grand
J’avais appris à tout gérer
Même si les difficultés étaient montées d’un cran
Je me suis fait quelques amis, enfin si on peut le dire
Car ils sont du genre à vous casser les burnes et à vous maudire
Leurs gestes de réconfort sont presque toujours trompeurs
Ils veulent faire germer dans mon esprit les graines de leurs peurs
Ils ne prennent pas d’initiatives et voient d’un mauvais œil que je me démarque
Et ne seraient pas tout-à-fait contre l’idée de me voire emporté par la parque
Ces vils procrastinateurs qui n’ont aucune assurance
Rêvent de me voir sombrer dans une interminable et douloureuse errance
Eh oui ! C’est ça mes amis et je n’ai rien de plus
Je les aime bien, même s’il est dur de se sentir toujours exclu
Ta sœur !
Tu sais, je kiffe pas beaucoup ta sœur.
Je suis ici pour vider mon sac
A propos de ta sœur qui me fout le trac
Ta sœur, je le sais ne m’a pas à la bonne
Ça tombe bien, je l’aime pas non plus des tonnes
Franchement je la trouve gravement relou
Face à elle je me sens toujours chelou
Ta sœur ne me trouve pas assez bien pour toi
Comme si au dessus de ma tête y’avait pas un toit
Ça se voit elle veut contrôler toute ta vie
Et toi complaisante, tu te gardes bien d’émettre un avis
Pour elle je ne suis pas assez comme il faut
Ta sœur ne m’aime pas d’ailleurs c’est pas une info
Ta sœur me saoûle !
Quand je la vois j’aimerais bien lui filer un coup de boule
Elle est tout le temps sur mon dos
Faudrait peut-être lui rappeler que nous ne sommes plus des ados
J’imagine que pour elle ce sera un gros coup
Mais dis-lui quand même qu’il y a longtemps qu’t’as vu le loup
Ta sœur me considère comme une ptite frappe
Mais jamais elle ne me fera passer à la trappe
Même quand on est à table, elle me lorgne d’un œil sévère
Elle fait comme si j’allais lui piquer ses couverts
C’est peu de dire qu’elle me casse les burnes
Et c’est ptêt parce que je suis pas pété de thunes
Ta sœur, y a longtemps qu’elle a fait déborder la coupe
Elle ne peut franchement pas m’encadrer, d’ailleurs c’est pas un scoop
Ta sœur me traite comme un chien
Et crois moi je le lui rends bien
Je me demande même si vous avez la même mère
Car je te l’avoue, entre nous, elle n’est pas une lumière
Elle a beau se débattre pour conserver sa vieille peau
Mais même les vêtements chics qu’elle met ont l’air d’oripeaux
Elle ne se prive jamais de me traiter de ringard
Rassures la, j’éprouve la même chose à son égard
D’ailleurs même si elle était encore fraîche, y’aurait pas de différence
Car vu la tronche qu’elle a, avec moi elle n’aurait aucune chance
Je vais m’arrêter là, sinon je vais être méchant
Et les gens ne comprendraient pas un tel acharnement
Ce qu’il faut retenir, c’est que ta sœur ne m’aime pas beaucoup
Mais c’est pas grave, elle n’est d’ailleurs pas un bon coup
Mon bon prince, je vous salue bien bas
Je sais que vous n’appréciez pas trop les débats
Mais il faut franchement que je vous le dise
Il y a longtemps que vous êtes devenu la cause de mes hantises
Depuis que j’ai touché à la raison, je n’ai connu que vous
Et je vous ai longtemps admiré, ça je vous l’avoue
Vous étiez pour moi et ma génération un grand héros
Mais y a longtemps que vous nous avez menés en dessous du zéro
Faut dire que votre aura s’est gravement assombrie
Et que votre image charismatique s’est peu à peu flétrie
Vous voilà contraint à mener votre barque d’une main de fer
Alors je vous en supplie mon bon prince lâchez l’affaire
Mon bon prince, je te promets c’est pas pour te contrarier
Mais pour m’assurer un avenir, sur toi je peux plus parier
Tu fais mourir mes espoirs, tes grandes ambitions tournent court
Et mes rêves se noient dans les flots trompeurs de tes discours
Autrefois tu réussissais à faire passer des vessies pour des lanternes
Mais l’hypnose n’opère plus et le drapeau de ta gloire est en berne
Tu ne peux plus nous faire avaler tes couleuvres
Car il y a longtemps que nous voyons les effets néfastes de tes œuvres
Après des années de gaffes tu cherches à rattraper le coup
Mais tu t’y prends mal et nous en encaissons les contrecoups
S’il te plaît n’essayes même pas de réparer, nous n’en demandons pas tant
Mon bon prince écoutes moi s’il te plaît va t-en
Mon bon prince c’est pas un compte personnel que je veux régler
Mais si je continue à la boucler, je vais finir par être cinglé
Tu nous as assez floués comme ça y’en a assez
L’heure est venue de céder le témoin ton temps est passé
Pourtant tu t’accroche et tu dis que le peuple te réclame
C’est qui le peuple ? Autour de moi je n’entends personne qui exulte et le clame
Mon bon prince, mon bon prince, arrête ne sois pas ridicule
Tu en as assez fait maintenant circule
L’ami Valsero l’a dit, tu t’es mal entouré et mal t’en a pris
Mais la vérité c’est que s’il y en a à jeter, tu fais partie des débris
Crois-moi si tu insistes tu finiras comme la Marie-Antoinette
Et j’aurai beaucoup de peine à voir sauter ta tête
Alors mon gaillard pars vite avant de te retrouver sans toit
Je t’en prie mon bon prince, s’il te plaît vas y casses-toi